8 septembre 2009

Portugal


3 commentaires:

http://www.ted.com/ a dit…

Etonnante cette poésie surgissant d'une composition comme décomposée... Sentiment d'ouverture, le fragile d'un instant à peine entrevu. Moins réfléchi: mon attention s'arrête, souffle suspendu devant l'image qui m'interpelle en des zones sans contours, indéfinies, ou la parole manque, plongé dans une rêverie aussi soudaine que délicate et douce...

(Je regrette de ne pouvoir signer que par l'intermédiaire d'un compte google - je 'écris au cas où ce ne serait pas un choix de votre part, qu'alors je respecterais bien sûr)

Boris de
http://complexus.over-blog.com/

Arnaud zajac a dit…

merci pour ce beau commentaire. "...le fragile d'un instant à peine entrevu..." oui j'espére que parfois ces images saisissent ça, oui des "zones (...)où la parole manque..." le souvenir de la douceur d'avant les mots?

je découvre ton blog: http://complexus.over-blog.com/
trés interessant! (seulement un rapide coup d'oeil pour l'instant) je vais prendre le temps lire...
à bientôt

http://www.ted.com/ a dit…

"le souvenir de la douceur d'avant les mots", beau aussi ! ça me parle oui..